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mercredi 20 janvier 2021
Comptage national Oiseaux des jardins 30 et 31 janvier 2021
Pour la neuvième année consécutive, la LPO et le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN) vous invitent, les 30 & 31 janvier 2021, à consacrer 1 heure à l’observation des visiteurs ailés de votre jardin.
Comment participer ?
Choisissez un jour et un créneau d’observation : samedi 30 ou dimanche 31 janvier, idéalement en fin de matinée, lorsque les températures sont un peu plus élevées.
Choisissez un lieu d'observation : un jardin, une cour, un jardin public ou un balcon.
Observez et notez durant 1 heure tous les oiseaux qui fréquentent le jardin. Une fiche d'aide à l'observation rassemblant les principales espèces d'oiseaux qui peuvent y être observées est disponible en téléchargement <<ici>> (attention, certaines espèces présentées — seulement estivantes, hirondelles, martinets… — ne sont pas encore présentes chez nous). Attention ! Il faut noter le nombre maximal d'individus d'une espèce vus en même temps et non pas additionner les oiseaux qui défilent, p. ex., à la mangeoire, ce sont en grande partie les mêmes individus : les 20 Mésanges charbonnières que vous pourriez compter à la mangeoire ne concernent peut-être que 4 individus différents, notez seulement 2, 3, 4… si vous les voyez ensemble à la mangeoire ou autour.
Pour tout éventuel problème technique, nous vous invitons à consulter le Guide d’aide à la participation. Lisez-le attentivement, vous y trouverez certainement la solution à votre problème. Sinon rendez-vous dans la Foire aux questions !
Ces fiches espèces peuvent vous aider à identifier les oiseaux. Vous trouverez aussi ici des fiches sur les espèces qui prêtent souvent à confusion.
L’animatrice du programme reste également à la disposition des participants pour les aider à identifier les oiseaux observés en envoyant de simples photos à : oiseauxdesjardins@lpo.fr.
Bonnes observations !
Chardonneret élégant se nourrissant de graines de tournesol (photo : Yvon Guenescheau)
posté par Édouard Beslot
lundi 4 janvier 2021
Bilan des comptages d’Œdicnèmes criards de l’automne 2020
Quelques mois après les 2 week-ends de comptage concertés dans le cadre de l’enquête Œdicnème criard, l’heure est (enfin) au bilan.
Vous trouverez ci-joint la synthèse.
Merci à tous pour votre participation à l’enquête, on se retrouve à l’automne 2021 !
Même si ce ne sont pas elles qui consomment le plus de ressources sur les sites Visionature, il nous semble raisonnable de limiter les téléversements à leur minimum.
Faune-Anjou n’est pas une galerie d’exposition de vos photos, pour cela il existe de nombreux autres outils plus performants et mettant plus en valeur vos clichés*. L’idée est d’adjoindre une ou deux photos de qualité suffisante qui illustrent l’espèce proposée (montrant assez de critères d’identification pour confirmer/homologuer l’espèce ; on peut en mettre un peu plus parfois pour montrer des individus, des détails, des angles, des comportements différents…). Gardons à l’esprit qu’une photo dans le brouillard à 100 m d’un Merle noir n’a aucun intérêt.
Si vous souhaitez être aidé pour une identification, n’hésitez pas aussi à profiter des listes de discussion comme obs49, LPO Mauges et LPO Saumur.
Pour rappel, téléversez directement vos photos dans le format d’affichage des bases : 675 x 450 pixels (100-200 ko).
Merci de votre compréhension.
*Dans vos données personnelles, vous pouvez indiquer votre site web, il sera accessible en cliquant sur votre nom.
posté par Alain Fossé (admin)
jeudi 15 octobre 2020
Suivi Ardéidés nicheurs
Reproduction des Ardéidés en région angevine
En pièce jointe, vous trouverez une note sur les suivis de reproduction effectués sur deux colonies d'Ardéidés de la région angevine en 2020, bonne lecture !
Enquête stationnements postnuptiaux Œdicnèmes criards en Maine-et-Loire
Dénombrement Œdicnèmes criards 2020
Ce début d’automne 2020 va être marqué par la deuxième édition des comptages de stationnements postnuptiaux d’Œdicnèmes criards. Cette enquête, déjà bien développée dans les départements du centre-ouest de la France, devrait permettre à court terme de mettre en place annuellement un comptage concerté sur l’ensemble des sites de rassemblements français afin de suivre l’évolution des effectifs nationaux. Ces regroupements postnuptiaux concernant essentiellement des nicheurs locaux, leur suivi permet alors une estimation plus aisée des populations que le suivi nocturne des couples nicheurs. D’après une enquête menée entre 1996 et 2001, les effectifs nicheurs en Maine-et-Loire étaient évalués entre 1 700 et 1 950 couples, soit une part très importante des effectifs nicheurs régionaux (entre 2 000 et 2 400 couples), et une part non négligeable des effectifs nicheurs nationaux, compris entre 15 000 et 28 000 couples. Pour rappel, les effectifs observés lors de la première année de l’enquête en automne 2019 étaient de 1 034 individus au premier comptage et 1 726 au deuxième comptage.
Pour cette deuxième année du suivi, deux comptages sur tous les sites de rassemblements connus dans le département sont envisagés, les week-ends des 3-4 octobre et des 17-18 octobre.
Les référents de chacun des 45 sites déjà suivis l’année dernière sont remis à contribution cette année afin de couvrir l’ensemble des rassemblements connus ces 10 dernières années. Cependant, de nombreux autres rassemblements passent certainement encore inaperçus, alors n’hésitez pas à jeter un coup de jumelles dans les chaumes et les autres parcelles autour de chez vous et lors de vos sorties entre septembre et novembre, et à noter vos observations sur Faune-Anjou, que vos prospections soient positives ou négatives ! J’insiste sur les données de prospections négatives qui sont importantes et qui nous permettront d’évaluer l’effort de prospection réalisé dans le cadre de l’enquête.
Certaines zones du département propices à la formation de regroupements postnuptiaux restent largement sous-prospectées : couloir du Layon, Loire amont et Authion, nord du Saumurois et Mauges en particulier. Le protocole de suivi reste le même que l’année dernière. Il consiste au comptage des regroupements connus lors de chacun des deux week-ends prédéfinis, de préférence le matin ou en soirée, périodes pendant lesquelles les oiseaux sont plus visibles. Même si les individus sont extrêmement fidèles à leur site de rassemblement, en particulier des parcelles présentant peu de végétation, comme les chaumes, labours, terres nues ou semis de blé par exemple, il sera bon de visiter les parcelles voisines si les oiseaux ne sont pas retrouvés. Dans tous les cas, il sera important d’effectuer le comptage à distance, afin de ne pas déranger les oiseaux.
Des informations complémentaires et un protocole de comptage sont regroupés sur le PDF ci-joint.
Ce dénombrement s’inscrit dans un suivi à long terme. Les comptages précédents ont été menés en 2003, 2008 (Gillings et al., 2012) et 2014. La France n’y avait semble-t-il pas pris part.
Pour les pays du Nord, le mois d’octobre correspond à un pic de présence de l’espèce. En 2014, près de 870 000 pluviers avaient été dénombrés dans les îles Britanniques, au Bénélux, en Scandinavie, en Pologne et dans les pays Baltes. En 2003 et 2008, la seule Allemagne accueillait près de 200 000 oiseaux !
En France, à cette période, les effectifs seront probablement bien plus modestes mais, au final, demeurent assez méconnus et réservent peut-être quelques surprises. Nous tenterons, cette année, en collaboration avec l’Office français de la biodiversité (OFB), d’apporter quelques données.
Si vous souhaitez contribuer à cette enquête, pour laquelle aucun protocole précis n’est fourni, veuillez collecter les informations, idéalement sous forme de listes complètes, en les attribuant au code étude « PluvApri2020 ».
IWSG invite les observateurs à prêter une attention toute particulière aux Vanneaux huppés et Courlis cendrés, deux autres espèces au statut de conservation défavorable.
Dans le cadre de son travail sur le Gobemouche gris Muscicapa striata et de son proche cousin le Gobemouche tyrrhénien M. tyrrhenica (v. les derniers Ornithos*), Frédéric Jiguet (directeur adjoint du CRBPO/MNHN) a posé une dizaine de photomètres géolocalisateurs (global location sensor, GLS)** sur des Gobemouches gris dans différents coins de France en 2019. Ces derniers, d’une autonomie de 8 mois devaient permettre de couvrir la migration postnuptiale et l’hivernage de l’espèce (Afrique équatoriale et australe).
Deux d’entre eux étaient posés sur un couple nichant dans une vigne vierge sur la façade de ma maison à Tiercé.
Mais pour analyser les données, encore fallait-il recapturer les oiseaux pour récupérer les GLS car ce ne sont pas des balises qui émettent des signaux relayés par les satellites.
Cette année, un couple s’installe courant juin à 3 m du nid occupé l’an passé. Suspense ! Manque de chance, aucun des oiseaux n’est bagué et porteur de GLS.
C’est dans le bois proche que je localise finalement un oiseau équipé. Il s’agit de la femelle et je localise le nid à 8 m de haut sur une branche de chêne. Si le mâle (non bagué) est capturé assez rapidement avec un filet classique, la femelle résiste et n’est toujours pas prise après trois tentatives avec divers dispositifs. Finalement, c’est avec un filet monté à plus de 8 m sur des perches en bambou rallongées avec des morceaux de canne à pêche que la femelle est finalement capturée le 10 juillet, et le GLS récupéré ! Ouf !
Un nouveau GLS est par ailleurs posé sur le mâle nichant à la maison.
Même densité que l’an passé avec au moins trois couples en moins de 400 m et nidification tardive puisque dans deux nids, les poussins sont à moins d’une semaine de l’envol.
L’analyse à venir des données nous permettra d’en savoir un peu plus sur les zones d’hivernage du Gobemouche gris et si ces zones diffèrent de celles occupées par le G. tyrrhénien.
Si vous voyez des gobemouches gris chez vous, regardez s’ils sont bagués et les bagueurs angevins tenteront la capture pour les contrôler.
Mise à jour de Frédéric Jiguet (16·8·20) :
« Malgré une distribution hivernale théorique couvrant toute l'Afrique au sud du Sahel ou presque, tous nos Gobemouches gris suivis par géolocalisateurs sont allés hiverner en Angola ! En jaune : 3 balearica de Minorque. En rouge : 5 tyrrhenica de Corse. En vert : 3 striata de France continentale (Indre, Maine-et-Loire). »
Répartition du Gobemouche gris lato sensu (striata + tyrrhenica, Birds of the World)
*OLIOSO G., THIBAULT J.-Cl., PIACENTINI J., PONS J.-M., 2019.— Le Gobemouche tyrrhénien : nouvel endémique des îles de Méditerranée occidentale. Ornithos, 26 (2) : 67-77.
WROZA St., 2019.— Le Gobemouche tyrrhénien M. tyrrhenica : un exemple de vocalisation extrême. Ornithos, 26 (2) : 78-82.
JIGUET Fr., 2020.— Identifier le Gobemouche des Baléares Muscicapa tyrrhenica balearica en France. Ornithos, 27 (2) : 112-125.
**Les photomètres sont de petits appareils électroniques, pesant moins de 0,8 g et attachés sur le dos des oiseaux avec un harnais. Ils enregistrent l’intensité lumineuse, et s’ils sont récupérés, les données permettent de recalculer la position approximative du photomètre, donc de l’oiseau, à partir de la durée du jour et de la nuit, et de l’heure du zénith, dépendant chacun de la latitude et de la longitude à une date donnée. V. l’étude sur le Bruant ortolan et le blog du CRBPO.
(Liste publiée récemment dans Ornithos:
COMMISSION DE L’AVIFAUNE FRANÇAISE, 2020.— Liste officielle des oiseaux de France, version 2020 (catégories A, B et C). Ornithos, 27 (3) : 170-185.)
posté par Alain Fossé (admin)
jeudi 16 juillet 2020
Mission hérisson, c'est parti !
La Mission hérisson, opérationnelle dès ce 16 juillet, est un observatoire au long cours. Il s’agit d’une enquête de science participative dont le succès repose sur la contribution du plus grand nombre d’enquêteurs possible. N’hésitez pas à vous en faire les ambassadeurs et à en parler autour de vous.
Objectifs ?
La Mission hérisson vise à dresser la carte détaillée de l’espèce, déterminer sa tendance d’évolution et, si les données sont suffisamment abondantes, étudier les variations de densité selon les régions et les habitats, voire tenter d’évaluer l’effectif de la population nationale.
Tous ces éléments sont importants pour connaître l’état de santé d’un petit mammifère dont le déclin est évident dans certaines régions mais hélas non documenté.
Matériel nécessaire ?
Pour participer, il faut s’équiper d’un tunnel à empreintes. Ce petit dispositif est facile à construire. Le site de la Mission hérisson propose des plans précis à respecter absolument pour que les données collectées puissent être comparées. Il est aussi possible de se procurer un kit d’enquête déjà tout prêt.
Un appareil photo numérique, un smartphone, un scanner ou une photocopieuse vous permettront de numériser les relevés d’empreintes et de les poster sur le site national. Pas besoin d’avoir une grande définition.
Chaque session d’enquête dure 5 nuits consécutives. Les indices de présence doivent être relevés chaque matin. Cela prend quelques secondes. Les données peuvent être transmises en quelques minutes.
On peut effectuer plusieurs sessions d’enquête chaque année, en un même lieu ou dans des habitats différents et nous vous invitons à renouveler l’opération chaque année.
Comment procéder ?
Après avoir positionné le tunnel (fixé avec des sardines s’il est léger), il convient de l’appâter avec quelques croquettes, d’enduire les tampons d’encre naturelle faite à base de charbon et d’huile végétale et de disposer deux feuilles de papier à chaque entrée du tunnel.
À partir de là, tout petit gourmand ou tout petit curieux laissera la trace de son passage. Dès lors, vous allez pouvoir jouer les inspecteurs et déterminer quelle espèce a emprunté votre tunnel. En cas de doute, la communauté des experts de la mission, vous aidera dans vos déterminations.
Pour transmettre vos observations, pas besoin de saisie compliquée. Il suffit de faire un cliché des pages d’empreintes et de les poster sur le site missionherisson.org, développé en partenariat avec Mosaic, centre de compétence du Muséum national d’histoire naturelle et de l’université de la Sorbonne.
Quand ?
Quand vous le souhaitez, mais un délai de six semaines doit être respecté si vous souhaitez renouveler une session d’enquête sur un même site. Durant cette période, n’hésitez pas à positionner votre tunnel ailleurs ou à le prêter à vos proches pour que d’autres relevés soient effectués.
Où ?
Partout où vous voulez, dans le respect des règles de propriété privée. Cela peut être votre jardin, celui de vos proches, une haie près de chez vous, le site de vos vacances, votre petit coin de nature privilégié…
Petit conseil : disposez le tunnel le long d’une structure linaire comme une haie, un muret ou un alignement de buissons.
Pour découvrir comment obtenir ou construire un tunnel à empreintes, tout savoir sur le hérisson, comment contribuer à l’enquête, transmettre vos observations et bien plus encore, rendez-vous sur le site de l’enquête.
Photographes, si vous vous êtes déjà posé la question de la taille des photos à importer dans Faune-Anjou :
Si la photo s’inscrit dans un rectangle de 675 x 450 pixels elle est importée telle quelle, sans aucune modification, cela permet donc à l’observateur de faire les traitements optimisés qu’il veut pour cette taille (v. ci-dessous).
Si l’image est plus grande que 3 072 x 3 072, elle est refusée d’office.
Si elle est comprise entre675 x 450 et 3 072 x 3 072, une copie de l’image originale est conservée et l’image est redimensionnée pour qu’elle s’inscrive dans le rectangle de 675 x 450 (horizontal ou vertical).
Il peut arriver parfois qu’une image plus petite que 3 072 x 3 072 soit quand même refusée car elle prend trop de mémoire une fois décompressée (c’est le cas des images JPG fortement compressées p. ex.).
exemple: cette photo fait 675 x 450 pixels (env. 100 ko)
Ligue pour la Protection des Oiseaux délégation Anjou
VisioNature est un outil développé avec la collaboration du réseau LPO. Grâce aux technologies Internet,
débutants, amateurs et professionnels naturalistes, peuvent partager en temps réel leur découverte et ainsi
améliorer la connaissance et la protection de la faune